Lire dans les journaux français – Journal de la Libération : Bachar Al-Assad, dictateur de Sa Majesté

Journal Libération : Bachar al-Assad, le retour du boucher

On lit dans le journal Libération qu’après dix ans de guerre, Bachar al-Assad semble avoir commencé à retrouver sa popularité dans certains pays. L’auteur de l’article a estimé que la fin de la guerre contre l’État islamique et la crise sanitaire, puis l’invasion russe de l’Ukraine ont provoqué la disparition de l’actualité syrienne des bulletins d’information et des conférences internationales.

Le président syrien se porte bien, a commenté l’auteur, et il s’est enrichi grâce au trafic de drogue, contrairement à son peuple, qui a souffert de la faim, affirmant que Bachar al-Assad s’emploie à restaurer l’amitié de certains pays qui participent à l’immense projet de reconstruction de la Syrie.

L’auteur a souligné que la France insiste toujours pour ne pas traiter avec ce dictateur, ce qui est une position louable.

Bashar al-Assad, le dictateur, Votre Majesté

On lit dans le journal Libération que l’agenda de Bachar el-Assad sera probablement bientôt rempli de rendez-vous diplomatiques, non seulement de visites régulières avec des dirigeants iraniens et russes, mais aussi avec d’autres pays, dont le plus important est la Turquie. Solène Poiret estime que la Turquie l’opposition a concentré toute sa campagne électorale sur le retour des Syriens chez eux, ce qui a été présenté comme la clé pour résoudre tous les problèmes de la Turquie, et Erdogan a compris que le rétablissement des liens avec Damas servirait cet objectif.

Du côté syrien, Boyer a déclaré que le désir de rouvrir au monde n’est pas fort, mais que les Russes et les Iraniens encouragent Damas à le faire et espèrent attirer la Turquie dans le camp anti-occidental.

La France veut accélérer l’expulsion des extrémistes étrangers

Jean Chichizolla rapporte dans le journal Le Figaro que plus de 700 immigrés en situation irrégulière ont été inscrits sur la liste des étrangers à expulser de France vers leur pays d’origine pour suspicion d’extrémisme et que leurs identités ont été transmises à la police des frontières européenne suite à une décision rendue à les forcer à quitter le territoire français.

De quelles nationalités sont ces immigrés ?

55,82 % d’entre eux venaient des pays du Maghreb, 10 % de Russie et le reste de Guinée, d’Afghanistan, du Mali et même de Belgique, précise l’auteur, quant aux régions françaises où vivent un grand pourcentage de ces extrémistes, les Bouches. La région de -d’Oron dans le sud de la France s’est classée première, où l’expulsion de 67 étrangers extrémistes depuis 2017 a pris la première place, suivie de Paris avec 55 personnes et de la banlieue parisienne de Saint-Denis, dont 49 personnes ont été expulsées.

Le long chemin de l’Ukraine vers l’adhésion à l’UE

Toma D’Estria a écrit dans le journal Le Monde que le gouvernement ukrainien tient à lutter contre la corruption, mais le peuple ukrainien exige une transparence totale sur l’adhésion de son pays à l’Union européenne après que Bruxelles a émis des recommandations sur les réformes que Kiev doit notamment mettre en œuvre dans ce domaine. de lutte contre la corruption et de renforcement de l’État de droit.

L’Ukraine pourrait-elle mettre en œuvre ces réformes face à l’invasion russe ?

Selon l’auteur, la commission ukrainienne chargée de ce dossier présentera le premier rapport sur les démarches et le travail du gouvernement sur cette question aux États membres de l’Union européenne.

Bruxelles n’a pas sous-estimé les efforts des autorités ukrainiennes et, selon l’auteur, l’une des mesures de réforme les plus importantes a été l’adoption d’une loi sur les minorités nationales en Ukraine et la rédaction d’une nouvelle loi sur l’indépendance des médias dans le pays.

Giorgia Meloni prône un fonds souverain européen pour contrer le protectionnisme ou le paternalisme américain.

Dans un article de Francesco Maselli dans le journal Lubinion, on lit que le Premier ministre italien se rend en Allemagne et en Suède pour appeler à des investissements conjoints pour soutenir les entreprises européennes et faire face à la concurrence des États-Unis d’Amérique et de l’Union européenne, d’autant plus que l’Italie le fait ne dispose pas d’un important excédent budgétaire pour soutenir davantage son économie.

Selon l’auteur, l’inquiétude de Meloni est justifiée, car elle devra accepter un assouplissement des règles en matière d’aides d’État en échange d’un assouplissement du plan de relance de son pays, dont la mise en œuvre a jusqu’à présent été retardée.

Andrien Barre

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