Bourguignon a déclaré, comme l’a rapporté mercredi la chaîne d’information France 24, que les autorités françaises ne s’attendent pas à une apparition de la maladie et qu’elles prennent les précautions nécessaires, y compris la vigilance dans ce cas, puisque ce virus n’existe plus en Europe. Il a été souligné que des recommandations ont été faites pour l’identification, la détection et l’isolement des personnes infectées et que le ministère est prêt à fournir aux autorités sanitaires des recommandations pour la vaccination des personnes entrées en contact avec la maladie.
La ministre française a ajouté que le ministère dispose de réserves stratégiques suffisantes puisque la vaccination ne sera pas complète, soulignant qu’elle discutera lundi prochain avec ses homologues européens « des stratégies que nous avons par rapport à cette maladie seront poursuivies », expliquant que la situation est sous contrôle strict à ce stade.
Hier mardi, l’Autorité suprême de santé a recommandé de vacciner les adultes, y compris les professionnels de santé ayant été en contact avec un patient.
Notamment, le virus de la variole du singe provoque des symptômes de fièvre et une grave éruption cutanée qui provoque des cloques sur la peau. Habituellement, la maladie est bénigne, mais il existe deux souches principales : la souche Congo, qui est la plus dangereuse avec un taux de mortalité allant jusqu’à 10 %, et la souche ouest-africaine, qui a un taux de mortalité d’environ 1 % des cas. Un type inhabituel de variole s’est propagé à travers l’Europe, mettant le continent en alerte. Il y a jusqu’à présent 12 cas confirmés, et 20 autres cas restent à confirmer.
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