Présentation du Bulletin du soir 06/03/2023

La fumée du président devait s’élever des cheminées des représentants du changement, des composantes de l’opposition et du bloc Courant patriotique libre / et la candidature de Jihad Azour serait acceptée, mais les « bavardages » du courant diplomatique ont forcé Gebran Bassil à résister à la dédicace ». agression » de Paris par le biais de notre ambassadeur pour les malades mentaux et de se qualifier pour le poste de notre ambassadeur dans les prisons./ Ramy Adwan, un dossier qui est tombé au niveau d’un scandale et a commencé à menacer les relations de deux pays/ après les Français Le ministère des Affaires étrangères avait demandé la levée de l’immunité diplomatique de l’ambassadeur du Liban à Paris pour faciliter le travail de la justice française/ et le ministère libanais des Affaires étrangères a répondu en annonçant l’envoi d’une commission d’enquête, suggérant qu’elle n’avait pas été correctement informée par la voie diplomatique a/mais a confirmé sa volonté de traiter de manière responsable la présente affaire tout en préservant le statut et le prestige de l’Etat et de sa mission diplomatique accréditée dans le monde/y compris en République française/Ainsi, la commission d’enquête sexuelle fera ressortir des faits qui ressemblera-t-il aux faits libanais, ou Rami triomphera-t-il de son agression et sera-t-il couronné par le maintien de l’immunité au pouvoir ? Et sa personne et le reste de ses membres politiques sont dans le Courant Patriotique Libre. dans le suivi et l’enquête, mais à la française ce n’est pas un sujet de tabou politique./ Et Colonna est elle-même diplomatiquement enthousiaste. L’immersion du président dans un dossier qui l’accompagne à Riyad pour discuter de la présidence libanaise avec son homologue saoudien Faisal bin Farhan / En attendant que les résultats arabes et internationaux se cristallisent, le mouvement local continue La ligne de candidature d’Azour a été repoussée, dont certaines pourraient être à d’autres ce soir / alors que les cercles de suivi attendent un discours du chef du Courant patriotique libre à Byblos et s’il annoncera la candidature de l’ancien ministre des Finances à la présidence/./ Gibran accompagne l’ancien président Michel Aoun, avec qui il déplacé du pays de Mirna Chalouhi au pays de Byblos pour signifier que le nom de Jihad Azour est venu au premier plan dans la constitution aouniste et a été personnellement ratifié par Michel Aoun.
Et si le député Simon Abi Ramia est « obligé » d’y assister en sa qualité de représentant de la région, la participation des députés de l’autre mouvement n’engage personne. Les nouvelles sources affirment que le candidat Azour lui-même exhorte un certain nombre de forces à attendre avant d’annoncer sa candidature jusqu’à ce qu’il soit sûr de son statut au FMI et du sérieux des forces politiques dans la nomination.
Les forces du changement, les forces armées et les brigades se sont engagées à un report temporaire et le député Ghada Ayoub a déclaré à Al-Jadeed que lundi prochain au plus tard, la position de l’opposition serait annoncée en défendant la candidature d’Azour et en a discuté avec la nomination d’Azour, l’opposition a réussi à renverser La candidature de Suleiman Franjieh/ Mais le président Nabih Berri ouvrira-t-il une séance par une nomination ? Vendre avec Azour ? Il est toujours en poste et il a dit au Moyen-Orient : je ne le ferai pas. Et certains (lanceurs d’alerte) à l’intérieur et à l’extérieur ne m’y obligeront pas / et c’est ce à quoi l’armée libanaise a répondu, critiquant « l’inertie constitutionnelle ». Le député Pierre Bou Assi, un collègue de Nabih Berri, a déclaré que les pouvoirs de son collègue sont limités et qu’il ne peut pas prétendre avoir le pouvoir comme le roi Louis XIV, qui avait l’habitude de dire : « Je suis l’État et l’État je suis. »/ Mais Berri, sans se laisser décourager par des descriptions ou des similitudes, est déterminé à s’emparer du droit de représenter, à jouer le jeu démocratique et à continuer de détourner les urnes, tout comme il a été détourné par Hannibal Mouammar Kadhafi, qui est libéré aujourd’hui après dix ans d’emprisonnement injustifié a annoncé une faim frapper./
Et si Berri avait ordonné le maintien de sa détention, qu’en est-il de la justice, qui dépend des décisions politiques, et du juge Zaher Hamadeh, qui exécute les mandats d’arrêt rédigés par Ain al-Tineh ?
Et le pouvoir judiciaire à un niveau supérieur peut dépouiller les politiciens des dossiers mais craint leur chute et le procureur de cassation, le juge Ghassan Oweidat, peut rejeter toute cette farce et dépouiller les dossiers de l’immunité de la deuxième présidence alors que Kadhafi le fils vous menace aujourd’hui d’un guerre à jeun.

Andrien Barre

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