N’eût été l’information d’une rencontre arabo-internationale à cinq réunissant les États-Unis, la France, l’Égypte, l’Arabie saoudite et le Qatar, qui aura lieu à Paris dans la première semaine du mois prochain, si tel est le cas et portant sur avec la situation libanaise d’un point de vue humanitaire et politique.
Et en ce qui concerne les implications des étranges hauts et bas du dollar, la patrie des Cèdres est hors du radar de la politique étrangère, laissée seule et patauge dans ses conflits internes qui semblent ne connaître ni fin ni limites, et qui ces derniers jours ont explosé en mode sans précédent au sein de la magistrature et risquent d’exploser à nouveau. Dans les prochains jours sur le front gouvernemental, face à l’obstination du Premier ministre par intérim Najib Mikati à faire de la politique provocatrice, à l’utilisation de prises de position faisant fi de la charte et recouvrant de titres à vie qui ont mille solutions et solutions à la constitution et à la position d’un sur des pactes basés sur le segment libanais dirigé par l’Église.
Comme si tout ce qui précède ne suffisait pas, jusqu’à ce que certains de ceux qui tentent de dépouiller la présidence, exploitant des ambitions de représentation personnelles illégitimes, en viennent à exiger l’élection d’un président par moitié plus un tout en contournant les blocs les plus représentatifs, et limitent leur rôle d’assister à la séance et peut-être d’applaudir. Cela ne peut se faire sans répercussions naturelles sur la structure libanaise et sur le sens de l’entité, de la participation, de la parité effective et de la coexistence.
Au vu de tout cela, aujourd’hui sur Ashkal al-Adliyah règne un calme relatif, mis à part les interminables protestations politiques des agents du changement, les forces armées et les brigades, qui n’hésitent pas à profiter de la douleur du peuple. pour enregistrer des points psychiques qui ne mènent nulle part.
Cela concerne les informations divulguées dans ce dossier aujourd’hui par l’avocat Sakhr Al-Hashem Al-Otefi, et nous nous arrêterons sous peu.
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