Le journal français Le Monde s’attend à une amélioration des relations maroco-françaises malgré les tensions et tensions résultant de l’escalade en Algérie. Le président français a donné des signaux clairs sur sa position sur le Sahara marocain, que le roi considère comme le cadre à travers lequel il informe le monde de la vision du Maroc et définit ses partenariats.
Malgré une période de stagnation entre Paris et Rabat ces deux dernières années, les relations se sont progressivement améliorées ces derniers mois. Samira Setil a été nommée ambassadrice du royaume à Paris, ce qui a été approuvé par le roi du Maroc en octobre. Deux semaines plus tôt, l’ambassadeur de France à Rabat, Christophe Lecourtier, était accrédité.
Outre cette « normalisation » diplomatique, les rencontres entre responsables des deux pays sont devenues plus fréquentes, traduisant une volonté commune d’améliorer les relations.
En octobre dernier, le ministre français de l’Economie Bruno Le Maire a rencontré son homologue marocain et Premier ministre Aziz Akhannouch. Le ministre marocain des Affaires étrangères, Nasser Bourita, a également reçu en novembre le directeur général de l’Agence française de développement Rémy Rieu.
Malgré cette « normalisation » progressive, la glace continue de fondre lentement. Un haut responsable français à l’ambassade de Rabat a souligné leur prudence et leur modestie, notant que les échanges avec les responsables marocains se poursuivent et que des consultations régulières ont lieu sur diverses questions.
Aux niveaux marocain et français, le secret semble s’être assoupli pour révéler d’éventuelles évolutions. Suite à ces consultations secrètes, les médias marocains ont publié des communiqués.
Donc si cela indique un retour à la normale, c’est un changement de programme, a expliqué un responsable français, qui a regretté cet euphémisme. Dans ce contexte, après le tremblement de terre de Marrakech, un clip vidéo d’Emmanuel Macron a été diffusé sur Twitter, ce qui lui a valu des critiques pour des manquements au protocole et sa volonté « d’interagir directement avec les Marocains », ce que la presse marocaine a considéré comme une « transgression ». le roi.
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