Les personnes atteintes de diabète de type 1 instable attendent depuis de nombreuses années un traitement : après de nombreuses années d’expérimentation, les autorités sanitaires françaises autorisent désormais la transplantation de cellules de Langerhans, ou îlots du pancréas.
La Française Valérie Rodrigues, qui a cherché un traitement, a pensé que la décision était révolutionnaire, et dans un hôpital de Strasbourg le 24 le mois dernier, cette femme a été parmi les premiers thérapeutes du pays à recevoir une greffe de cet organe dans le cadre des traitements en cours.
Cette femme dit avoir essayé tous les traitements pour ajuster la glycémie avant de subir cette opération, mais toutes les tentatives ont échoué. Elle avait l’impression d’être dans un coma hypoglycémique en conduisant sur l’autoroute, vous pouvez donc la voir avaler du sucre pour l’empêcher de s’endormir.
Mais depuis la dernière opération, le psychisme de Valérie s’est rajeuni et elle dit que grâce à cette technique, elle n’a plus de fluctuations de glycémie et son corps se sent moins fatigué.
Dans cette technique, les cellules de Langerhans, les cellules pancréatiques responsables de la sécrétion d’insuline, sont transplantées dans le foie d’une personne malade, les cellules à transplanter étant prélevées sur le corps d’un donneur non diabétique en état de mort cérébrale. .
Et si Valérie ne ressent pas d’effets secondaires particuliers, elle confirme que cette opération, comme toute greffe d’organe, nécessite un traitement anti-rejet à vie.
Quant à elle, Valérie souhaite prendre 7 pilules le matin et 6 le soir, confirmant qu’elle préfère son petit-déjeuner aux pilules en raison du manque fréquent de diabète dans le sang et du manque de repos.
20 ans de recherche
Les premiers essais cliniques de ce traitement ont été menés au Canada en 1999 puis en Europe et ont duré deux décennies. Et en 2020, les hautes autorités sanitaires ont donné leur accord pour effectuer de telles chirurgies sur certains patients dont la santé n’est pas stable depuis longtemps.
L’hôpital de Lille a été le premier établissement de santé français à pratiquer de telles chirurgies dans le cadre des soins de routine et après cela, l’hôpital de Strasbourg a repris la tradition car les médecins la considèrent comme une étape très importante pour les patients car c’est le summum de leur recherche clinique.
Ce traitement concerne quelques centaines de patients par an, soit un très faible pourcentage des 370 000 personnes atteintes de diabète de type 1, selon l’Association française des patients diabétiques. Diabète.
phase de propagation
Depuis l’homologation de ce traitement, il est utilisé en France, et les hôpitaux de Paris, Grenoble et Montpellier ont reçu l’agrément des autorités régionales de santé pour commencer à pratiquer ces greffes d’organes.
Les autorités s’efforcent de respecter les conditions de sécurité et de qualité pour les patients, et le directeur général adjoint de l’Agence biomédicale, le professeur Michel Tsimaratos, affirme que l’arsenal thérapeutique pour prendre en charge les patients s’enrichit et « c’est quelque chose à retenir », comme il l’a dit.
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