Une lecture dans les journaux arabes – Les troupes de Wagner… ont gagné en Ukraine et ont attaqué Moscou

Les forces de Wagner… ont gagné en « Ukraine » et ont attaqué Moscou

Abdullah Al-Otaibi a écrit dans le journal Al-Sharq Al-Awsat qu’un changement radical s’est produit au-delà de toute logique politique ou militaire. Soudain, il y a deux nuits, Prigozhin a annoncé son retrait d’Ukraine et la prise de contrôle de la ville russe de Rostov, qu’il a prise comme emplacement stratégique et d’une importance exceptionnelle dans les lignes d’approvisionnement pour la guerre en Ukraine. L’auteur a ajouté que ce scénario étrange n’a pas du tout été mentionné par les analystes ou les observateurs de la situation dans la guerre russo-ukrainienne, mais des scénarios similaires en Russie ont été mentionnés dans de nombreux films « hollywoodiens » au cours des décennies, dans lesquels des généraux russes se rebellent contre l’autorité centrale à Moscou. Certains d’entre eux acquièrent des « armes nucléaires » et constituent une menace sérieuse pour le monde et sa sécurité. Prigozhin pourrait-il proposer quelque chose de similaire à ces terribles scénarios ? demande Al-Otaibi.

Guerre civile russe

Dans un article de Hussam Kanafani dans le journal New Arab, nous lisons que l’histoire actuelle de Poutine et Wagner est très similaire à l’histoire d’Hitler et de Staline pendant la Seconde Guerre mondiale, lorsque le premier s’est retourné contre l’allié soviétique et a négligé de se déplacer vers l’Est. le front occidental, qui lui a coûté la perte de la guerre après la défaite de Stalingrad.

L’auteur estime que les rapports de Prigozhin ne sont pas seulement liés à la présidence russe, mais aussi à l’oligarque russe, qui considère la guerre d’Ukraine et les sanctions occidentales imposées à la Russie comme une menace pour le pays et son avenir, surtout si Poutine reste au pouvoir. par la suite Les élections présidentielles prévues en 2024. Il a expliqué que le mouvement de Prigozhin n’est peut-être pas loin des calculs de cet oligarque, qui en est venu à croire qu’il n’y a de salut pour la Russie qu’avec le départ de Poutine.

Quel impact le coup d’Etat russe aura-t-il sur la Syrie ?

Abdel Nasser Al-Ayed a souligné dans le journal électronique Al-Modon que l’inquiétude dans le camp des alliés de Moscou sur le sol syrien, d Avec ses blessures, pour le régime du Père Assad ce sera une situation similaire à celle au moment de la chute de la création de l’Union soviétique, à savoir la phase dans laquelle il a eu recours directement à l’amélioration de ses relations avec les États-Unis et les pays occidentaux par le biais du portail des négociations marathon avec Israël, qui sont toujours disponibles et sur la table, depuis la reconnaissance d’Israël est presque la seule Carte du régime d’Assad, selon l’auteur.

Al-Ayed estime qu’à moins que Washington ne soit enclin à lier la question syrienne à une seule, l’opposition syrienne liée à Washington ou à la Turquie bénéficiera le moins des changements en cours en raison de leur dispersion et de l’absence d’une stratégie indépendante pour finir de sa part.

La France et le Liban… un problème politique, pas d’émissaires

Khairallah Khairallah écrit dans le journal Al-Arab que cette fois Jean-Yves Le Drian est venu au Liban pour voir s’il était encore possible de sortir de l’impasse qui caractérise la situation libanaise, en mission de reconnaissance. Dans ce contexte, l’opposition aux Français politique au Liban, politique basée sur l’élection de Suleiman Franjieh, candidat du Hezbollah, à la présidence de la République.

L’auteur considérait que la position française signifiait une capitulation devant une réalité à laquelle il est désormais inévitable de se soumettre. C’est une réalité incarnée par la forte présence du Hezbollah et l’auteur a précisé que la racine du problème réside dans les fluctuations de la politique française dans différentes parties du monde et selon l’auteur cela s’applique également à cela. Le problème de la France avec Le Liban ne réside pas dans la complexité de la situation intérieure et l’incapacité des Libanais à s’entendre entre eux pour combattre le « Hezbollah », mais aussi dans le fait que la France n’a pas les moyens d’être influente au Liban.

Édith Desjardins

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