Selon une « déclaration condamnatoire » dans laquelle le bureau exécutif de l’Association marocaine pour les droits des victimes a exprimé sa « sérieuse inquiétude » après que l’association eut appris par les médias français que l’homme d’affaires milliardaire français Jacques Bottier avait été accusé de trafic d’êtres humains, de viol d’un mineur et de la détention, sous prétexte de sa santé dégradée, l’organisation organisée que la même association aujourd’hui, vendredi 24 .
Le stand auquel ont assisté la présidente de l’association, Aicha Gellaa, membre du Comité marocain de défense des femmes, victime de Boutielli dans l’une des succursales de son ancienne société à Tanger, et l’avocat Abdel Fattah Zahrach, au nom de La victime, membre de la même association, ont assisté à la pose de slogans et de banderoles rédigés en arabe et en français.
Les banderoles comprenaient des déclarations condamnant la décision du juge d’instruction du tribunal correctionnel de Paris de lundi dernier de libérer temporairement Bottier « pour des raisons de santé » et critiquant ce qu’il a décrit comme favorisant « l’impunité » et « protégeant la justice française », a inscrit le violeur.
« Encourager l’impunité »
Aicha Gellaa, avocate d’un membre du comité de défense des victimes de Bottier et présidente de l’Association marocaine pour les droits des victimes, a déclaré dans une déclaration aux médias : « Cette veillée est une protestation contre une décision judiciaire des juges d’instruction de la cour d’appel de Paris et par la chambre criminelle agréée par le même tribunal, ordonnant la mise en liberté provisoire de Bottier, considéré comme un homme d’affaires fortuné et fortuné qui a eu et jouit toujours d’une forte influence tant au Maroc qu’en France.
Klaa a ajouté que « le principal suspect dans les affaires de viol, d’agression sexuelle et de harcèlement équivalant au crime de traite des êtres humains qui a été libéré est un ignoble exploiteur sexuel de jeunes femmes marocaines et françaises », notant qu' »il avait auparavant exploité sexuellement mineurs et violé le caractère sacré de leur corps, faisant de lui un pédophile dans la justice française, et nous avons été surpris qu’il ait été libéré lundi dernier en invoquant son état de santé, notant qu’il y a des mois, il dirigeait une grande compagnie d’assurance.
Elle a souligné que « la justice française est sur le point de déposer des plaintes contre Bottier avec des preuves solides, y compris des vidéos et des enregistrements de la détention et du viol d’un mineur en France, ainsi que des plaintes de femmes marocaines à la succursale de Tanger de l’entreprise, conduisant à son arrestation. » rendue nécessaire l’année dernière par mesure de précaution, puisque selon les accords internationaux elle est destinée à protéger les victimes. « Pas des violeurs. »
Et le même avocat a souligné que « la déclaration d’aujourd’hui sert à porter notre voix, qui est la voix des victimes, pour que la justice française puisse se revoir et revoir sa position, si la France est vraiment le pays de la Déclaration universelle des droits de l’homme et de la . » En matière de droits et de libertés, protéger les victimes de Jacques Petit et les inciter à les dénoncer, plutôt que de promouvoir l’impunité, doit être notre priorité numéro un.
« Argumentation stupide »
De son côté, l’avocat Abdel Fattah Zahrach, représentant du Comité de défense des femmes victimes, Jacques Bottier, a estimé que « la justification par la justice de la libération provisoire de Bottier en raison de sa maladie n’est qu’un argument de faiblesse » et a critiqué « la logique de l’arrogance française et la volonté de tout faire avec les femmes marocaines, comme l’a noté Bottier lui-même, estimant que le Maroc était encore un protectorat français.
Zahrash a déclaré dans une déclaration à Hespress que « toutes les conditions d’un procès équitable et de sa sécurité sont réunies dans l’affaire ouverte devant la cour d’appel de Tanger », avant de « critiquer le fait que la France n’ait pas arrêté l’un des cadres en fuite de l’entreprise pour le faire après . » un mandat d’arrêt avait été émis contre lui au Maroc. »
Dans sa déclaration, Zahrach « a souligné la gravité des actes criminels de Jacques Bottier contre des victimes en France, dont un mineur, ainsi que ce qu’il a commis contre les victimes capturées de sa société (ASSU 2000) (actuellement VILAVI) à Tanger, au Maroc, lorsque il était président-directeur général, avec la participation du directeur. » Le général de la société, Amir Mosaedi, qui a fui la justice marocaine vers la France après avoir appris qu’il était procureur du roi près la cour d’appel de Tanger, avait rendu une décision le menaçant arrêter.
Notamment, les autres prévenus sont poursuivis devant la chambre criminelle de ce même tribunal pour « traite ayant entraîné une maladie mentale, participation à celle-ci, harcèlement sexuel et non-dénonciation d’un crime ».
Il est à noter que, dans un communiqué, l’Association marocaine pour les droits des victimes « a réaffirmé sa position de non-ingérence dans la justice française, ainsi que son indépendance et son impartialité », notant que « la décision de mise en liberté provisoire de l’accusé Jacques Petit , la menace menace la sécurité et la dignité des victimes et va à l’encontre de tout ce que contiennent les conventions internationales qui défendent le droit des victimes à un recours et à réparation, la considérant comme un encouragement à la justice française à éviter les sanctions.
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