L’affaire du gouverneur de la Banque du Liban, Riad Salameh, est arrivée à un tournant important après avoir demandé la réponse du procureur d’appel de Beyrouth, le juge Ziad Abu Haidar, à qui le dossier de Salameh a été transmis par le procureur discriminatoire.
Cette requête intervient à un moment où des procureurs discriminatoires, par l’intermédiaire du juge Abu Haidar, demandent que Salameh soit inculpé de détournement de fonds criminel, et ces accusations sont directement liées aux fonds publics, à la Banque du Liban et aux déposants. A cet égard, des sources judiciaires proches du dossier précisent que « le crime de détournement de fonds criminel est le fondement principal de l’accusation et toutes les tentatives actuelles de Salameh sont faites dans le but de gagner du temps pour retarder le dossier et toute décision à ce sujet peut être . » être émis à l’extérieur. »
Le gouverneur de la Banque centrale est conscient que la condamnation dans son dossier viendra forcément, mais de l’étranger et surtout des Européens. Selon des sources judiciaires, « toutes les démarches en cours visent à gagner du temps au Liban et à combler l’heure d’été, qui est la saison des vacances judiciaires en Europe », notant que « les enquêtes entre le Liban et les pays du vieux continent diffèrent ». Des détournements de fonds criminels alors que des enquêtes sur le blanchiment d’argent sont en cours en Europe.
A cet égard, les sources se réfèrent à l’enquête menée par le juge Jean Tannous, notant que « ce dernier y a mis fin et, après avoir complété les preuves, le procureur a convoqué Salama soupçonné de son implication dans des détournements de fonds », notant que « le dossier du juge a été dirigé vers Abu Haidar, qui, selon le journal, devrait être inculpé. » Il a reçu cela du bureau du procureur discriminatoire, et aujourd’hui Salama est venu demander la récusation du juge Abu Haider afin qu’il ne soit pas inculpé « … Alors quoi Occurrence? ».
Cette demande doit être décidée par un organisme public, et elle ne sera pas accordée car le chef du Conseil supérieur de la magistrature, le juge Suhail Abboud, a décidé que personne ne peut le remplacer par un suppléant lorsqu’un juge prend sa retraite. sans décret. Des sources judiciaires indiquent que « le décret est suspendu et ce qui a été rendu par le juge Abboud est une jurisprudence car la loi stipule que les tribunaux du Liban doivent assurer la continuité de l’organisme public ». Alors que le juge Abboud a confirmé à « Al-Nashra »: « L’Assemblée générale n’est pas actuellement en session et nous travaillons sur les dates. »
Alors Salameh a demandé que le juge Abu Haidar soit démis de ses fonctions afin qu’il ne soit pas inculpé et l’organisme public qui a décidé de la demande a été suspendu et donc l’affaire est close devant le tribunal. Ici, les sources soulignent que « c’était ce que voulait Salama et c’est ainsi qu’il mérite plus de temps et lorsqu’il est appelé à l’étranger, il part sans exiger ».
Les juges libanais peuvent ou non savoir ce qu’ils font, mais les biens et l’argent confisqués par l’État français appartiennent à Salameh, évalués à plus de 100 millions de dollars. Ici, les sources judiciaires soulignent que « compte tenu de la scène dessinée et de l’inaction de la justice libanaise par rapport au dossier du gouverneur central, l’État français prendra le contrôle de tous les fonds, biens immobiliers et biens confisqués, qui seront tous deviennent sa propriété et. » rejoignent l’Etat français », ajoutant : « Est-il raisonnable que la France reçoive toutes ces sommes alors que les Libanais pillent leur argent dans les banques ?
Au final, Salama essaie de gagner du temps, mais il est clair que la condamnation des Européens viendra sans l’ombre d’un doute !.
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