Critique d’écran | Moyen-Orient

– La créature marine
Un saut de qualité pour un long métrage d’aventure
– Parfait ★★★★
Seuls les pionniers du Festival du film d’Annecy, spécialisé dans le cinéma d’animation, ont vu « Le Monstre Marin » sur grand écran comme il mérite d’être diffusé. Le festival s’est ouvert hors compétition, puis relégué aux émissions à domicile de Netflix. Regarder le film à l’écran avec un espace limité est impressionnant, mais le spectateur doit imaginer à quel point il le verrait éblouissant sur les écrans des grands cinémas commerciaux, plus qualifiés que d’autres pour regarder des films.
C’est que le film s’enrichit de ses scènes, couleurs, techniques et histoires, et surtout de l’intégration de son espace visuel, de ses éléments et des détails qui y apparaissent. Une merveilleuse histoire écrite dans un film magnifiquement réalisé qui raconte l’aventure puis s’achève qui porte un discours sur la nécessité pour l’homme d’apprécier les créatures dans leur diversité, mais aussi sa reconnaissance des différences entre les peuples eux-mêmes, pour créer un noyau une vie naturelle. Pendant ce temps, une ère de la fin de l’Europe est dénoncée (les événements se déroulent à l’époque où la poudre à canon a été inventée pour la première fois) qui voulait conquérir le monde et ses marchandises. Le mot « colonialisme » se lit entre les lignes, ce qui, comme l’histoire du film, est dépassé, même si le principe peut encore exister avec une couverture différente.
L’histoire du film s’exprime dans un dessin qui est continuellement merveilleux dans ses détails et l’échelle de ce qui se passe à l’intérieur. Dans ses mouvements et prises de vue sous différents angles et tailles. C’est comme un film en direct transformé en dessin animé. En fait, ce critique a dû prendre un moment dans les premières minutes pour vérifier que le système utilisé ici n’était pas un rotoscope (photographier des acteurs en direct puis les transformer en dessins).
Monstres marins, réalisé par Chris Williams. Il avait déjà réalisé Big Hero 6, qui est inférieur en rang et en importance par rapport à ce film. Nous rencontrons d’abord l’aventurier Jacob Holland (exprimé par Karl Urban) qui tente de survivre après que son navire a été coulé par une mystérieuse attaque de monstre marin qui a tué le navire. Jacob prend vie lorsqu’un autre navire sous le commandement du capitaine Crowe (Jared Harris) passe. Un homme avec un grand corps, de larges épaules, est parti il ​​y a des années pour chasser les monstres marins, en particulier le monstre qui (alors) frappe les navires et les ramasse. Ensemble, ils poursuivent leur quête et, à un moment donné, elle et le reste de l’équipage ont presque réussi à le capturer.
Lorsque le capitaine revient au royaume, la reine ordonne à son chef de troupes de charger un navire de guerre pour capturer la bête. Le capitaine et Jacob repartent et une petite brune, orpheline et vagabonde qui aime lire des contes de fées sur les dangers et les bêtes de la mer, s’introduit sur le navire.
Jacob et la fille Maisie se retrouvent sur une île isolée, la même île où le monstre ira, mais à partir de là, Jacob comprend que le monstre peut être un ami et qu’il doit le défendre contre le capitaine Crowe s’il le rencontre.
L’histoire ne s’arrête pas là (et ce que j’ai mentionné est un bref résumé de deux heures et seulement cinq minutes des événements) mais la situation finit par s’éclaircir sur la capture de la bête et son retour dans le royaume. Là, les attitudes changent et la jeune fille reçoit un discours réclamant justice entre toutes les créatures, humaines et non humaines.
Avec ce message positif se termine un film chargé de deux types d’excitation, l’histoire qui ne connaît pas d’allusions et d’allusions, et l’introduction de positions naïves ou à connotations négatives, et la méthode de mise en œuvre qui ne semble pas possible pour une personne pour y parvenir de cette manière intégrée. Oui, l’histoire a des situations attendues ou anticipées, mais elles sont peu nombreuses et pas d’une ampleur écrasante.
Le film entier a la magie de l’animation cinématographique à son meilleur. Il parie sur une histoire que l’on ne voit plus dans les films de ce type, car elle diffère des bons films animaliers que Disney et consorts continuent de nous faire pleuvoir, mais dans un style innovant et des technologies modernes qui font du film le meilleur film d’animation. film cette année au moins (Séries : Netflix).

– Père Stu
Rêves d’un boxeur à la retraite et d’un acteur potentiel
– Bien ★★★
C’est le parcours d’un homme qui commence naïvement sa vie à l’écran et se termine avec un objectif loin du sien, qui est de devenir ministre, ou – du moins – de se lancer dans le projet d’un ministre. Ce n’est pas une quête parce que Stewart ne pouvait pas décider quoi chercher. Son médecin l’a forcé à se retirer de la boxe, puis ses envies l’ont forcé à se tourner vers le théâtre, et puis il n’a pas trouvé d’opportunité devant la caméra, il a dû travailler dans une boucherie. Son accident alors qu’il conduisait imprudemment sa moto lui a donné l’impression d’être né de nouveau, et il était donc à nouveau moine sans choix. C’est ce à quoi cela ressemble, même si la réalisatrice Rosalind Ross ne l’a pas voulu dire de cette façon.
Tous les éléments ci-dessus sont traités avec une lame de simple épaisseur et des transitions rapides. La vraie vie de Stuart Long était peut-être comme ça, mais elle devait contenir davantage de causes transformatrices du film. Il y a toujours une bonne connaissance de la façon de raconter un sujet lourd de manière légère et divertissante, et cela inclut de donner à l’acteur Mark Wahlberg suffisamment d’espace pour jouer le personnage dans un projet qu’il a tenté il y a des années. Son jeu est bon et la synthèse du film combine les déclarations et les comportements de ce personnage avec le désir du réalisateur de livrer un récit rapide au détriment d’une profonde compréhension des motifs qui ont guidé la vie de son héros. Le film répond à son désir de montrer Stewart comme un homme confus, même s’il ne s’en rend pas compte (publicités).

Médiocre ★ Moyen ★★ Bon ★★★
Excellent ★★★★ Chef-d’œuvre ★★★★★


Denise Herbert

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