Samedi, l’agence de presse algérienne a publié un télégramme dans lequel elle parlait de ce qu’elle qualifiait d’« affirmations » diffusées par certains médias au sujet de la disparition « présumée » de l’Algérie en relation avec ses relations commerciales avec l’Espagne.
L’autorité a confirmé que cette nouvelle est fausse car aucune nouvelle officielle n’a été publiée par les autorités ou organes compétents à cet égard.
Et le même câble de poursuivre : « Les décisions relatives aux questions financières et commerciales liées aux obligations de l’État sont prises au niveau du Conseil des ministres ou du ministère des Finances ou de la Banque d’Algérie et sont annoncées par les voies officielles. Les décisions relatives aux questions financières et économiques, notamment celles liées aux relations de l’Algérie avec ses partenaires commerciaux, relèvent de la compétence exclusive de l’État et non de la compétence des organisations professionnelles telles que la Confédération des banques et établissements financiers.
Selon « Wage », l’association des banques et institutions financières évoquée par les médias ne peut se substituer aux institutions étatiques chargées des finances, des affaires et du commerce extérieur, puisqu’il s’agit simplement d’une association professionnelle qui représente les intérêts de ses membres. Dix États étrangers, dont deux banques françaises, « BNP Paribas » et « Société Générale », dont le rôle est notamment de représenter les intérêts collectifs de leurs membres vis-à-vis des autres, notamment vis-à-vis des pouvoirs publics et la Banque d’Algérie, qui est l’autorité de contrôle des opérations bancaires.
Pour rappel, le 8 juin, l’Algérie a décidé de suspendre « immédiatement » le traité d’amitié, de bon voisinage et de coopération qu’elle avait signé avec le Royaume d’Espagne le 8 octobre 2002.
“Independent pop culture scholar. Hardcore entrepreneur. Typical food addict. Internet nerd. Subtly charming music practitioner.”