La marine brésilienne saisit 3,6 tonnes de cocaïne sur un bateau à destination de l’Afrique – Canal Al-Ghad

Les journaux internationaux publiés aujourd’hui dimanche ont rendu compte de l’évolution des événements internationaux et de l’évolution de la situation au Niger. L’intérêt des journaux français s’est concentré sur les reportages en dialogue avec le président Emmanuel Macron sur divers sujets allant de la situation intérieure à l’impact de la guerre en Ukraine et aux tensions au Niger.

Dans un entretien au journal Le Point, le président Macron défend son bilan à l’Elysée et dévoile ses intentions pour la suite de son mandat, qu’il estime terminer jusqu’à la dernière heure.

Il dit qu’il pourrait renouer avec le président russe Vladimir Poutine si cela a du sens et que la diplomatie française est claire, mais que l’heure n’est pas à la diplomatie.

Reconstruire la structure géopolitique de l’Europe

Macron appelle à une reconstruction de la structure géopolitique de l’Europe… Il parle de géopolitique et défend les options de son pays en Ukraine sans fermer la porte à la Russie.

Chez lui, Macron évoque le remaniement ministériel et la nomination d’Elisabeth Borne ainsi que l’issue des cent jours et définit sa vision pour la prochaine phase, refusant de voir son gouvernement comme un canard boiteux jusqu’à la fin de son mandat.

Transition vers la modernité

Il parle également du changement écologique, qui devrait paraître souhaitable plutôt qu’inatteignable. Macron veut entrer dans l’histoire comme un chef d’État progressiste qui a permis à la France de passer à la modernité en réduisant le chômage, en promouvant la réindustrialisation et en abordant de manière proactive la crise de l’urgence climatique et la question nucléaire.

Rejetant les troubles qui mettent en lumière les pénuries de main-d’œuvre et font preuve d’une justice laxiste, le président Macron défend la cohérence de ses politiques dans un monde de plus en plus instable, soulignant qu’il faut parfois des mois, voire des années, pour que les politiques portent leurs fruits.

Dévoilement du lancement d’une initiative politique majeure plus tard ce mois-ci, en août.

Le Niger, test de la maturité des élites africaines

Le journal russe « Expert Row » a publié un article sur le moment de vérité en Afrique.

L’article déclare : Bien que trois semaines se soient écoulées depuis le coup d’État au Niger, les pays africains n’ont pas été en mesure de décider d’une intervention militaire pour faire progresser la diplomatie malgré la pression extérieure.

La date de l’intervention militaire des forces de la CEDEAO dans la situation au Niger a été fixée mais n’a pas encore été annoncée. Cela a été annoncé tard dans la soirée du 18 août, à l’issue d’une réunion des chefs d’état-major des forces armées des Etats membres de l’organisation.

Mais ce qui est plus important, c’est de constater que l’Afrique elle-même est, bien sûr, fatiguée des troubles constants, mais encore moins fatiguée de l’hégémonie de l’Occident, qui, selon les habitants du continent, ne contribue pas à la paix dans le monde. région, mais, au contraire, l’empêche par tous les moyens possibles.

L’évolution de la situation autour du Niger montrera à quel point l’Afrique est préparée à un avenir souverain et à quel point le monde est prêt à reconnaître ses droits.

L Express – Coup d’État au Niger : le président nigérian joue avec sa crédibilité

Selon le magazine Express, Bola Ahmed Tinubu, qui dirige également le groupe de la CEDEAO, menacerait d’intervention militaire les putschistes au Niger. Alors que sa réputation politique est menacée.

Il s’investit peu dans la survie de l’organisation régionale face à la stagnation provoquée par la crise au Niger et dans le maintien de sa propre crédibilité.

Quelques semaines après la fin de l’ultimatum du groupe au conseil militaire, l’intensité de l’affrontement entre le camp des démocrates et le camp des putschistes au Sahel s’intensifie.

Le magazine français ajoute : Le dirigeant nigérian a promis une « tolérance zéro » pour les coups d’État. Il est désormais confronté à un dilemme complexe : adopter l’option militaire impopulaire au risque de déclencher une conflagration régionale. Ou bien ils reculeront et affaibliront la voix des dirigeants ouest-africains en acceptant de facto le sixième coup d’État dans la région en trois ans.

L’heure des décisions difficiles a sonné pour le président, qui fait face à des troubles sociaux dans son pays, alors que son armée est embourbée dans la lutte contre les jihadistes et que l’insécurité règne sur son territoire.

Malgier Martel

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