Journal Le Monde : L’accord avec le Hamas ne trouve pas de consensus en Israël.

Les journaux français publiés aujourd’hui, 25 novembre 2023, ont abordé de nombreux sujets, parmi lesquels l’impact de l’accord de cessez-le-feu et l’échange d’otages et de prisonniers entre le Hamas et Israël, un article sur la montée de l’extrême droite en Europe et le conflit finno-russe. sur les immigrés.

Le journal Le Monde a interviewé Yagil Levy, sociologue et professeur dans une université israélienne.

Le titre disait : « Le système politique en Israël est complètement paralysé. »

Dans son entretien avec le journal Le Monde, Yagil Levy, sociologue et professeur dans une université israélienne, a affirmé qu’il n’y avait pas de plan d’après-guerre à Gaza. L’affaire était devenue compliquée et la libération des otages n’était pas l’un des principaux objectifs au début de la guerre. Ces objectifs ont été modifiés trois ou quatre fois avant la prise du pouvoir. La priorité est de libérer les otages. Cette hésitation est considérée comme un phénomène nouveau.

Répondant à une question sur le cessez-le-feu, Yagil Levy a déclaré : « Une décision de cessez-le-feu est peut-être une bonne chose, mais nos exigences portent sur la cessation des hostilités à condition que Gaza, par exemple, soit administrée par l’Autorité palestinienne, avec ou sans notre aide, compte tenu de l’idée d’une solution à deux États. « Il est donc temps maintenant d’élaborer un plan, sinon la guerre continuera dans les mêmes circonstances, et je suis personnellement attristé par ce que nous faisons à Gaza. »

Journal Le Monde : L’accord avec le Hamas ne trouve pas de consensus en Israël.

Le quotidien Lomond a rapporté que trois associations israéliennes avaient fait appel devant la Cour suprême d’Israël contre l’accord conclu sous les auspices du Qatar, des Etats-Unis et de l’Egypte visant à parvenir à un cessez-le-feu de quatre jours entre Israël et le Hamas et à un échange d’armes contre des otages israéliens et palestiniens. les prisonniers. Toutes les candidatures ont été rejetées mercredi et jeudi. .

Selon une association, leur objection à l’accord est due à la crainte que les otages, dont les noms ne figuraient pas sur la liste initiale, ne soient « abandonnés à leur sort » et soient ainsi exposés à un risque accru de mauvais traitements ou de mort.

Le Monde a cité des représentants de l’une des associations affirmant que l’accord constitue une menace sérieuse pour Israël. Ils se souviennent que la libération du soldat Gilad Shalit en 2011 a eu des conséquences désastreuses. Pour rendre ce soldat kidnappé par le Hamas en 2006, Israël a accepté de renvoyer 1 027 prisonniers palestiniens à Gaza, dont Yahya Sinwar, l’actuel chef du Hamas dans la bande de Gaza et l’organisateur des attentats du 7 octobre.

Journal L’Opinion : L’extrême droite prend d’assaut l’Europe.

Selon le quotidien L’Opinion, les électeurs européens votent de plus en plus pour des partis d’extrême droite qui placent l’immigration et l’islam au cœur de leurs programmes.

Le quotidien ajoute que l’extrême droite progresse à chaque élection et dans chaque sondage sur le continent européen, à l’exception de l’Espagne et de la Pologne, qui présentent certaines caractéristiques liées à leur histoire nationale, mais que la scène générale de l’UE évolue la même direction.

L’Opignon estime que la montée de l’extrême droite dans les pays européens est un phénomène continental et que l’Italie représente le modèle le plus progressiste, la Première ministre Giorgia Meloni ayant une orientation politique extrémiste.

Cependant, l’extrême droite européenne, dont l’influence ne cesse de croître, reste divisée sur plusieurs sujets, comme le maintien de la bonne gouvernance et des relations avec la Russie, ainsi que sur plusieurs sujets de société comme l’avortement ou l’homosexualité. Mais la force de l’extrême droite, estime L’Opignon, réside dans son unité sur les principales questions qui motivent des millions de ses électeurs, comme l’immigration et l’islam.

Le journal Lomanti a évoqué les tensions entre la Finlande et la Russie et a demandé pourquoi la Finlande ferme ses postes frontières avec la Russie.

Le journal Lomante a rapporté que les autorités finlandaises avaient décidé de fermer tous les postes frontaliers avec la Russie, à l’exception d’un seul dans le nord de la Finlande, et Helsinki a condamné la volonté politique de Moscou de déstabiliser le pays.

Le gouvernement finlandais a justifié ces fermetures par la forte augmentation du nombre de demandeurs d’asile, organisée directement par les autorités russes. Auparavant, Moscou n’avait pas autorisé ces migrants à venir en Finlande, mais les autorités d’Helsinki ont déclaré qu’environ sept cents personnes (700) sont arrivées ce mois-ci et venaient principalement de l’Est, du Moyen-Orient et d’Afrique, par exemple (Yémen, Syrie, Somalie et Afrique). Maroc).

Le quotidien français a indiqué que la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, avait rejeté les accusations de la Finlande, les qualifiant de « sans fondement » et de « trompeuses », tandis que le gouverneur de la région russe de Mourmansk, située dans l’Arctique et frontalière de la Finlande, a estimé le nombre de citoyens étrangers souhaitant entrer en Finlande. . Cela va fortement augmenter.

Denise Herbert

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